Un bon manager se doit de contrôler les aspects techniques et relationnels dans sa société. Être en bonne relation avec tout le monde est la clé d’une productivité abondante. Pour ce cas, il doit devenir un modèle. Pourtant, les obstacles qui peuvent se présenter ont une grande influence sur la personnalité. La colère est une émotion difficile à maitriser surtout quand on a un certain tempérament. Pour que le manager soit efficace, il est préférable qu’il sache se contrôler. Bien que les réactions soient naturelles et spontanées, la vie professionnelle demande une certaine discipline.
Avant de les maitriser, il faut comprendre le fonctionnement des émotions. En premier lieu, un élément déclencheur fait son apparition. Par exemple, un salarié commet une grosse erreur en mélangeant deux produits destinés à la livraison. Cette information est envoyée au cerveau, ou plus précisément, au thalamus qui distribue à son tour ce stimulus dans le néocortex et dans l’amygdale. Inutile de se pencher sur ces termes scientifiques, l’idée est de comprendre que le néocortex se lie à la raison tandis que l’amygdale est le siège des émotions. De ce fait, le manager reçoit l’information et se met immédiatement en colère. Il prend des décisions irrationnelles et déstabilise l’entreprise. Le responsable ignore que management et gestion de la colère sont deux concepts interdépendants.
Une fois que la colère a été identifiée, il est plus facile de faire une approche pour la contrôler. Notez toujours que peu importe la situation, vous êtes responsable de vos états et de vos comportements. En tant que manager, la maitrise de soi est indispensable. D’ailleurs, tout le monde doit avoir un minimum de technique pour se contrôler. Au lieu de laisser la colère vous envahir, il est préférable de choisir la raison. Même si la faute commise vient de l’employé, un bon manager sait qu’il a une part de responsabilité et en a pleinement conscience.
Deux options s’offrent au manager lors d’une situation désagréable. Soit il devient violent, colérique et ne se contrôle plus, soit il se maitrise et recherche des solutions. N’oubliez pas que management et gestion de la colère sont étroitement liés. De plus, cette discipline montre son expertise et le rend plus professionnel. Alors, au lieu de blâmer l’employé qui a confondu les colis, le manager opérationnel reprend la situation en main, s’excuse auprès du client, s’assure de la bonne livraison et recadre le personnel pour ne plus refaire la même erreur. Ainsi, la colère est remplacée par une solution radicale.
Une bonne gestion d’équipe est primordiale pour instaurer une bonne ambiance de travail, mais aussi pour optimiser les résultats. Pour ce faire, vous devez adopter un management stratégique performant et adapté. Une telle technique vous permettra de motiver vos collaborateurs et d’obtenir un travail d’équipe efficient.
Une des meilleures techniques de gestion d’équipe est le management horizontal. Dans ce contexte, le chef d’entreprise ne se met pas en position de décideur unique en décidant de tout seul. Ce type de management implique de connaître ses employés, de déterminer leurs missions afin de mieux comprendre leurs aptitudes et les intégrer plus efficacement. Vous devez ainsi être présent sur le terrain et avoir une vision globale de vos activités. Vous pourrez alors mener votre équipe en leur assignant des tâches qui correspondent à leur niveau de compétences, mais aussi à leur aisance. Dans le cadre du management horizontal, le leader ne se contente pas de diriger de son bureau. Il se mêle à ses salariés et les encourage à bien travailler.
Une entreprise a souvent plusieurs tâches à effectuer. En tant que leader, vous devez être capable de gérer plusieurs projets, répartis dans plusieurs équipes. Pour ce faire, vous devez assigner des tâches précises à chacun, mettre des délais et des objectifs clairs. Un superviseur pour chaque équipe est recommandé afin de centraliser les informations et d’avoir un interlocuteur pour chaque groupe. Poussez aussi les réunions de groupe ou individuelles pour rappeler les objectifs, répartir les tâches et répondre aux doutes ou aux interrogations de certains. C’est une des techniques de gestion d’équipe les plus efficaces.
Entre les tâches urgentes et celles très importantes, les salariés se perdent parfois. C’est pourquoi, en tant que dirigeant, vous devez définir des objectifs clairs et réalistes. Parmi les missions découlant de ces derniers, vous devez émettre une liste de priorité afin d’optimiser le travail de votre personnel. Les travaux les plus importants devront être achevés plus tôt. Pour les définir, pensez à toutes les tâches qui ont une incidence directe sur votre chiffre d’affaires ou sur votre business. En priorisant le travail en fonction des objectifs, l’équipe sera plus sereine. Vous devez les inciter et les aider à donner un sens à leur travail pour que vos salariés puissent être motivés et qu’ils se dépassent. La définition de priorités est donc une des techniques de gestion d’équipe à adopter pour le succès d’un travail en groupe.
Diriger une entreprise n’est pas une affaire facile. Le manager devra en effet générer des chiffres d’affaires tout en veillant au bien-être et à l’épanouissement du personnel travaillant au sein de la société. Aussi, maintes qualités sont indispensables pour devenir un bon manager. Parmi celles à ne pas négliger, il y a le sens de l’humour.
Dans la pensée commune, le chef d’entreprise est sérieux, ferme, sévère, voire même autoritaire. Ce sont en effet les qualités d’un manager qui aspire au bon développement de son entreprise. Néanmoins, trop d’autorité ne rime pas avec la volonté d’entretenir le bien-être au travail et l’épanouissement de l’ensemble du personnel. Au contraire, cela engendre de l’appréhension, du stress et au final de la démotivation.
Pour entretenir une bonne ambiance au travail, le manager devra avoir le sens de l’humour. Lors de ses prises de parole et même lors de ses petits passages pour demander des nouvelles des salariés, il saura alors faire rire tout le monde et ainsi entretenir au mieux leur joie de vivre et leur motivation.
Chaque salarié en entreprise rencontre à un certain moment des problèmes dans l’exécution de son travail. Cela peut être un manque de concentration engendrant des erreurs ou un non-respect des consignes et du cahier de charges. Cela peut aussi être une baisse de tonus qui impacte négativement sur son efficacité au travail.
Pour rassurer ses salariés, le manager peut miser sur l’autodérision ou sur la dérision vis-à-vis d’une situation, jamais vis-à-vis du salarié lui-même. Le but est ici de montrer aux travailleurs qui ont commis des erreurs que ce n’est pas très grave et que ça peut arriver à tout le monde. Néanmoins, le dirigeant d’entreprise saura leur faire comprendre que ces genres d’erreurs ne doivent pas se répéter trop souvent. Le sens de la communication est d’ailleurs une des bonnes qualités d’un manager.
L’humour se range sans conteste parmi les grandes qualités d’un manager. C’est en effet une façon de démontrer à l’ensemble du personnel son dynamisme et sa joie de vivre. C’est encore une manière de montrer que l’on est compréhensif et ouvert aux échanges et aux discussions en vue de résoudre des problèmes professionnels.
Il faut néanmoins savoir que l’humour est à utiliser avec parcimonie quand on est manager. Il doit servir à améliorer le bien-être au travail, non pour amuser la galerie.
Le management de la génération Y permettra aux entreprises de favoriser une bonne relation de confiance entre ses employés de toutes générations, et ainsi que d’intégrer plus particulièrement dans cette génération Y. En effet, la génération Y est comprise entre les années 1980 et 1995, et le comportement des personnes de cette génération est un peu différent de ceux de leurs aînés. Ainsi, un manager devrait posséder des qualités essentielles, lui permettant de faciliter sa vie quotidienne face à la génération Y :
Principalement, cette génération n’aime pas une sorte d’autorité ou style de management, c’est-à-dire un style directif. Il s’agit ici que le manager qui utilise ce style remette le plus souvent en cause son autorité, qui est nécessaire pour sa carrière professionnelle. Pour se faire respecter, la manager pourrait s’énerver aux jeunes, il adopte une posture du donneur d’ordre, ce qui semble incompatible à la façon de pensée de cette génération. Par conséquent, ce manager devrait viser vers une posture de responsable ressource, c’est-à-dire qu’il ne donne pas de l’ordre directement, mais il travaille avec le centre de service, tout en donnant les moyens efficaces pour ses collaborateurs. Ce management de la génération Y a pour raison d’atteindre les objectifs fixés lors de la collaboration avec ses équipes, dont celui de s’entraider et s’encourager pour plus avancer.
En effet, ce qu’attend la génération Y de l’entreprise est d’être exemplaire, plus particulièrement pour le dirigeant et tous les niveaux hiérarchiques. Il s’agit ici d’affirmer ses valeurs en haut et fort. Le manager devrait avoir une vision loin avec ses collaborateurs, il devrait avoir un comportement exemplaire s’il veuille être respecté par la génération Y. Ce qui permet de ce fait de montrer la valeur d’un manager intègre, qui fait de son mieux pour donner un exemple à ses collaborateurs, pour que la jeune génération le suive, l’écoute et le respecte.
La dernière qualité essentielle qu’un manager devrait posséder en face de la génération Y est de prendre soin de la relation. D’habitude, cette génération donne son avis dans les réseaux sociaux, par exemple via les forums de discussions, les blogs, les chats, etc., c’est en effet une sorte de moyen pour entrer en relation avec ces jeunes. Pour renforcer le management de la génération Y, un manager devrait déterminer comment rentrer en relation elle et se communiquer avec ses collaborateurs. Pour cela, il faudrait utiliser le mode formel, donner un feedback à ses collaborateurs, de suivre une certaine formation et de mettre en place une sorte de management participatif avec eux.
Les rôles du manager sont aujourd’hui pris à tort à cause de la complexité du métier. Avant tout, il faut retenir qu’il est un cadre qui dirige une équipe en vue d’atteindre des objectifs précis. De ce fait, plusieurs responsabilités lui sont transmises. Il n’est pas rare de voir que le plus qualifié des employés est promu pour devenir manager. La stratégie de l’entreprise peut également s’orienter vers le recrutement d’un agent externe, mais ce qui est sûr c’est que le nouveau manager soit un expert dans le domaine et qu’il ait les compétences requises pour ce poste. Pourtant, la diversité des tâches ou des missions qu’il doit accomplir peut l’amener à de fréquentes erreurs.
Ne vous voilez plus la face, le manager est hiérarchiquement supérieur à ses collaborateurs. Le plus souvent, ce sont les employés au sein même de l’entreprise qui obtiennent ce poste. Naturellement, des attachements ont dû s’installer au cours des différents échanges passés pendant le travail. Et c’est l’une des premières erreurs de manager débutant. Il est vrai que la cohésion avec son équipe doit s’établir, mais il est tout de même conseillé de rester dans une relation professionnelle. Cela afin d’éviter le favoritisme. Le recadrage entre aussi en jeu lors des fautes commises par ses subordonnées. En effet, si la relation est trop amicale, le fait de remettre à sa juste valeur le collaborateur deviendra compliqué.
L’idée d’être un surhomme est également une des erreurs de manager débutant. Il s’imagine porter tout le poids des responsabilités de son équipe. Agissant ainsi, le manager se surcharge inutilement et manque d’initiative pour planifier les projets à long terme. D’un autre côté, la créativité des employés diminue, leurs compétences sont réduites et la dépendance se fera ressentir. De plus, ils seront infantilisés, découragés, voire démotivés. La solution est de faire confiance à ses collaborateurs en déléguant les tâches au plus expérimenté.
Pour bâtir une équipe solide et efficace, il est avisé de miser sur leur cohésion. Le manque de clarté d’objectif commun fait partie des erreurs de manager débutant. Il faut alors partager une vision globale pour aiguiser la motivation de ses collaborateurs. Préciser le rôle de l’équipe au sein de l’entreprise est un excellent moyen pour booster les valeurs du groupe. Enfin, planifier des réunions périodiques permet de suivre l’évolution de chaque membre, leur acharnement au travail et leurs compétences particulières.
La création d’une entreprise en ligne nécessite plusieurs démarches, qui dépendent profondément du statut juridique que cette entreprise a choisi. En effet, un entrepreneur dispose de nombreuses possibilités pour procéder certainement à la création de son auto-entreprise. Créer une entreprise en ligne nécessite une certaine connaissance en matière de création, afin de pouvoir éviter les erreurs et de gérer les niveaux de risque. Ainsi, l’entrepreneur pourrait diriger efficacement la création de son entreprise avec toutes les démarches et formalités en quelques clics seulement sur internet :
Il s’agit ici que la rédaction des statuts se fera de manière dématérialisée. Dans cette étape, quelques options sont primordiales pour créer une entreprise en ligne : dont la première option c’est si la rédaction des statuts sera faite par l’entrepreneur lui-même, et deuxième option c’est si cette rédaction sera confiée à un prestataire en ligne. En effet, si la rédaction des statuts sera faite par l’entrepreneur de l’entreprise à créer, le téléchargement d’un modèle de statuts sur un site web serait essentiel, afin qu’il puisse le compléter sans difficulté. En outre, dans la deuxième option, l’entrepreneur devrait fournir pour ce prestataire quelques informations nécessaires, par exemple en répondant à un questionnaire en ligne.
Plusieurs démarches sont à prendre en compte pour créer une entreprise en ligne. Ces démarches se feront en ligne, impliquant la publication d’un avis de constitution et l’établissement d’une certaine déclaration, tout en la remplissant. Elles pourraient se faire facilement en ligne, à l’exception du dépôt sur un compte bloqué des apports en numéraire, et de l’évaluation d’un commissaire des apports en nature. En outre, si la création était faite par un prestataire en ligne, la totalité des démarches seraient accomplies par ce dernier, et l’entrepreneur n’a qu’à signer tout simplement les documents électroniques.
Notamment, si la création de l’entreprise sera faite par un prestataire en ligne, c’est à lui de se charger de toutes les procédures fondamentales jusqu’à l’obtention de l’extrait K-Bis, c’est-à-dire que c’est lui qui transmettra les documents au greffe. Mais l’entrepreneur et le prestataire devraient se communiquer de temps en temps concernant la déclaration et les justificatifs à joindre. Par contre, si cette demande d’immatriculation sera faite par l’entrepreneur lui-même, il pourrait l’accomplir en utilisant certains sites qui disposent un service internet, tout en complétant en ligne le formulaire, en joignant les pièces justificatives demandées et en payant les frais d’immatriculation.
Le franchisage est un moyen de coopération entre une entreprise (appelée également franchiseur) et une ou plusieurs autres entreprises (franchisés). En France, cette collaboration enregistre plus de 75000 franchisés et plus de 2000 franchiseurs. De plus, le nombre de personnes et de réseaux qui choisit la franchise en créant leur entreprise augmente chaque année. Pour cause, créer une entreprise sous franchise présente plusieurs avantages.
L’entreprise sous franchise offre de multiples avantages. Bien qu’elle fasse partie du réseau de franchise, un franchisé est toujours propriétaire de son entreprise et est donc juridiquement indépendant. Le choix d’une franchise peut vous libérer des créations d’entreprises. Les franchisés bénéficient de l’image de marque du franchiseur ainsi que de la notoriété de la marque auprès des consommateurs. De même, le franchisé peut également bénéficier du système de gestion d’entreprise conçu et testé par le franchiseur, économisant ainsi le temps associé à l’utilisation des technologies existantes et réduisant les risques financiers.
Les franchisés acquerront également une expertise supérieure à celle des hommes d’affaires isolés grâce à des formations, à une assistance et à des conseils continus ainsi que des outils pédagogiques. Le franchisé bénéficie d’un avantage concurrentiel, d’une part, du fait de l’union économique du réseau et d’autre part, de la capacité de création du franchiseur. Grâce aux économies d’échelle apportées par l’optimisation du capital d’investissement et par la standardisation des opérations, les franchisés peuvent obtenir de meilleurs rendements par rapport aux commerçants indépendants.
La formation fait également partie de l’obligation du franchiseur (c’est-à-dire l’assistance) envers les franchisés. Le franchiseur a pour obligations légales et contractuelles d’assister le franchisé dans la gestion quotidienne. Évidemment, il ne s’agit pas de les remplacer (le franchisé est un entrepreneur indépendant, pas un employé du leader du réseau) mais de les aider, de répondre à toutes leurs questions et de tout faire pour assurer la réussite de chacun des membres du réseau. Par conséquent, avant de choisir une franchise, il est nécessaire d’analyser soigneusement le niveau d’accompagnement fourni par le responsable du réseau afin de choisir la marque ayant l’avantage concurrentiel le plus important.
Selon une étude réalisée en 2016 par le laboratoire français BPI, 45% des créateurs d’entreprise se sentent isolés, voire même très isolés car le fait d’être seul face à la gestion de l’entreprise et les décisions est loin d’être une partie de plaisir. A cet égard, le franchisage présente à nouveau des avantages parce qu’en plus de la formation et de l’assistance fournies par le franchiseur, le franchisé est généralement tenu de participer à des conventions annuelles, à des rendez-vous avec les animateurs de réseau et à des réunions régionales.
Votre société se déroule avec succès et bientôt vous allez engager votre premier employé. Vous avez séduit de meilleurs candidats avec des offres d’emplois super efficace et bien rédigée, vous avez programmé de nombreux entretiens avec des postulants dont les profils vous paraissent parfaits pour les postes à pourvoir.
Là, il s’agit pour les recruteurs de se présenter et aussi de rappeler les postes à pourvoir et enfin de mettre le postulant dans les bonnes conditions possibles lors d’un entretien d’embauche. Expliquez-lui vos secteurs d’activités et aussi les participations des groupes ainsi que le rôle que le postulant pourra être conduit à jouer dans les organisations. L’objectif c’est de le recevoir le plus agréablement possible. Ensuite, laisser le candidat s’exprime : cette seconde partie est bien entendu essentielle, c’est elle qui fermera la finalité de la conversation. Le postulant devrait se présenter, et puis dévoiler qu’il maîtrise son poste, mais également qu’il a compris la société qu’il désire rejoindre.
En effet, c’est le moment pour savoir si ses hard-skills et ses soft-skills correspondent aux cultures de l’entreprise. Votre rôle c’est de guider le candidat. Commencez par lui demander de se présenter, retournez sur son CV si vous trouvez qu’il y a quelques points à approfondir ou à vérifier. Fouillez sur ses motivations, ses relations avec ses supérieurs, et ses liens avec ses anciens collègues. Ensuite, demandez au postulant ce qu’il préfère dans son secteur d’activité, ses échecs et ses succès, ce qu’il espère du poste, les caractères avec qui il préfère travailler ou même comment il préfère travailler.
Tout ce que le postulant vous raconte peut être utilisé contre lui… En faite, vous devriez avoir des grilles d’entretien d’embauche sous vos yeux, cela vous permettra de noter ses comportements (les gestes de stress ou encore des interrogations sur son poste, ses expériences…). Vous devriez également souligner tous les points à examiner sur lesquels vous désireriez revenir afin de ne pas les oublier. En exemple, si le postulant oubli de parler d’une tâche, annotez de le lui faire énoncer une fois que sa présentation se termine. En outre, vos grilles d’entretien vous permettent de revenir sur des éléments non précis ou que vous désirez que le postulant précise : les langages informatiques, les niveaux de langue…
Demandez au postulant ce qu’il a retenu de la société et aussi demandez-lui s’il a quelques questions supplémentaires. Afin que cet instant ne soit pas considéré comme une perte de temps, demandez-lui également si ce qu’il a pu entrevoir correspond aux idées qu’il se faisait de la société et quelles sont ses impressions.
Afin de terminer l’entretien d’embauche, vous devriez également lui développer la suite du processus, et la date à laquelle il pourrait s’attendre à avoir des nouvelles de la société.
Si la majorité de nouveaux diplômés courent vers les grandes entreprises pour trouver un emploi stable, certaines personnes ne souhaitent que lancer leur propre activité professionnelle. La seconde option paraît trop risquée, mais présente des opportunités plus intéressantes. Si vous faites partie des entrepreneurs, vous vous demandez sûrement quand lancer votre projet de création d’entreprise.
Les inspirations pour un projet professionnel arrivent à tout moment : devant l’écran de son ordinateur, en route vers le supermarché, au cours d’un échange entre amis, etc. Alors que vous avez une idée intéressante en tête, ne tardez pas à prendre votre agenda. Notez les plans qui déterminent les bases de votre projet de créer une entreprise. Comme il s’agit d’un dessein de grande envergure, vous avez intérêt à consulter un professionnel. De cette manière, vous bénéficierez d’un accompagnement pratique pour mener à terme votre projet. L’expert vous aidera à établir votre business plan, tout en considérant les détails obligatoires.
La plupart des étudiants doivent présenter un projet réalisable pour leur mémoire de fin d’études. Si vous avez déjà envisagé de créer une entreprise, profitez des recherches pour la rédaction de votre livre pour mettre au point vos plans. Essayez de traiter toutes les parties importantes de votre projet dans la présentation de votre mémoire. Vos enseignants vous aideront à la mise en place de tous les points à considérer. Après votre soutenance, vous pouvez commencer l’exécution de votre rêve de toujours. Toutefois, afin d’éviter la perte d’une somme importante, demandez l’aide d’un ami qui a déjà pu ouvrir les portes de sa propre enseigne.
De nombreux projets entrepreneuriaux restent des rêves pour des raisons financières. Alors que vous avez déjà un plan d’exécution de vos idées, il est temps de penser à votre budget. Si vous êtes un nouveau diplômé, vous devrez commencer par trouver un emploi stable auprès d’une entreprise, sans mettre de côté votre projet de créer une entreprise. Cela vous donnera le temps d’économiser un peu d’argent puis d’acquérir des expériences professionnelles considérables.
Autrement, misez sur le prêt à taux zéro auprès de l’établissement bancaire de votre choix. En présentant un dossier technique bien étudié dans le cadre de votre projet, il est possible d’obtenir un crédit. Pour cette option, vous avez intérêt à suivre à la lettre votre business plan. Vous pouvez aussi trouver des partenaires financiers qui pourront devenir des actionnaires potentiels au sein de votre future entreprise.
La création d’une entreprise est une étape difficile surtout quand il s’agit de trouver le financement pour le démarrage du projet. Il n’est pas facile de négocier avec une banque pour vous soutenir lors du lancement. Comment faire alors pour convaincre une banque lorsque vous créez votre entreprise ?
Bien souvent, les banquiers ne prêtent pas d’argent à tous ceux qui en demandent. Cela rend le processus de négociation plus difficile. Par contre, ce n’est pas impossible de convaincre une banque si vous savez bien comment vous y prendre. Vous devez suivre quelques techniques pour réussir. D’abord, faites bien attention à votre première impression. Évitez toute forme de crainte. Installez-vous bien confortablement et quand il vous demande d’exposer votre projet, étalez calmement votre document. Vous devez être réaliste et précis. Donnez quelque choses de concrètes par exemple des chiffres réels mais non pas des approximations. Si vous montrez que vous êtes très sérieux et prêt à vous engager dans votre projet avec un rapport bien établi, cela va montrer au banquier que votre projet mérite d’être soutenu. Quand vous essayez de négocier avec une banque, il est important que vous demandiez un montant de prêt réaliste c’est-à-dire, le montant du prêt doit être cohérent avec vos fonds propres.
Votre dossier de financement doit mettre en valeur quelques points particuliers relatifs au projet. Vous devez être très sérieux et maîtrisez bien votre business plan. Dans votre dossier, il est important que vous précisiez l’activité de l’entreprise. Déterminez aussi la stratégie que vous allez adopter ainsi que les caractéristiques de produits de l’entreprise. Définissez aussi la clientèle que vous souhaitez cibler. Montrez aussi que vous avez déjà étudié vos concurrents sur le marché. Comment allez-vous distribuer vos marchandises ? Utilisez-vous un réseau de distribution ou les vendez vous vous-même ? Pour négocier avec une banque, la maîtrise de tous ces points est très importante pour qu’elle puisse connaître si votre projet va vraiment dégager du profit.
Vous avez étudié vos besoins en matière de financement ainsi que le fonds personnel qui sont à votre disposition pour former les fonds propre de votre entreprise ? Quand vous avez constaté que vous avez besoin d’un prêt pour le compléter, il est fort possible que vous pensiez qu’un banquier peut vous fournir une solution d’emprunt. Il existe d’autres solutions d’emprunt que vous pouvez choisir à part négocier avec une banque. Il y a les organismes de microcrédit professionnel, les financements solidaires, les crowdlending qui sont une sorte de financement participatif permettant d’emprunter de l’argent auprès de particuliers à travers une plateforme.
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